1896-2019 prison d’Orléans est le fruit du travail de 10 photographes orléanais.e.s, constitué.e.s en collectif éphémère. J’ai le plaisir de partager avec eux dans cette edition mes clichés de l’ancienne prison d’Orléans. Ils ont été pris peu de temps avant sa démolition. Le livre est disponible au prix de 15€, hors frais de port, avec possibilité de remise en main propre sur les environs d’Orléans Les précommandes sont dores et déjà disponibles via la page facebook du projet ou en m’envoyant un message. Format 21cm par 21 cm environ 100 pages.
Les photographes du collectif :
Arnaud BOUTON, Céline BERNARDO, Jordan POUDROUX, Julien WEISS, Laurent ARBONNIER, Manuela BOURBOULON, Mitch TAILLANDIER, PIerre RUPRECHT, Thierry BLANCHARD, VIncent PASQUIER
I WAS HERE
1ere édition limitée à 25 exemplaires des 23 photos de la série (épuisée)
prix 8€ hors frais de port.
I WAS HERE est une série de photographie qui se concentre sur des japonais et japonaises se photographiant en selfie dans des lieux touristiques du Japon.
Ces lieux touristiques ne sont pas forcément les lieux attendus par les touristes européens à la découverte du Japon. Ces lieux semblent être plus importants aux yeux des japonnais qu’ils ne le sont pour le reste de la communauté internationale.
J’ai donc décidé de prendre en photo ces personnes dans l’instant suspendu du selfie. Le selfie est un temps de la vie qui me fascine particulièrement. Il résonne dans le selfie une forte charge émotionnelle. Autoportrait des temps modernes et tag des murs de nos réseaux sociaux il s’y pose comme un graffiti qui dit « j’y étais ».
Le selfie est pour moi une étape de l’appropriation d’une œuvre tant personnellement que dans la culture collective. Se prendre en selfie devant la Joconde résonne de la même manière que d’acheter le dernier album d’un artiste installé dans la culture populaire, ce selfie a pour but de dire ce morceau de l’imaginaire collectif de la culture populaire globale, je l’ai vue je l’ai fait mien. Le selfie sur des lieux moins célèbres ou avec des œuvres plus confidentielles ou même des auteurs encore vivants participe là aussi au processus d’appropriation du sujet. Il permet au même titre que l’achat d’un livre et de son exposition dans sa bibliothèque de dire « Ca je l’ai vu, lui je l’ai rencontré. C’est une part de ma sensibilité artistique ». Processus encore plus vrai avec des lieux touristiques que l’on ne peut pas déplacer jusqu’à chez soi. Le selfie ou autoportrait pousse un peu plus loin l’idée de la photo souvenir en figurant dessus pour en prouver la véracité.
Tohoku Livehouse Daisakusen Relationship Tour 2016
1ere édition limitée à 10 exemplaires. (épuisée)
édition à l’unité 50€ hors frais de ports